« La démarche sculpturale de cet artiste bouillonnais passe au préalable par une phase de contemplation de la matière brute de laquelle naître ensuite un dialogue et une symbiose avec le regard et le geste de l’artiste.
Le travail qu’il (…) est d’une certaine manière l’expression d’une forme de quête spirituelle. Tout est dans la simplicité et la justesse du geste et de l’intervention, son rapport et son dialogue avec la nature et l’identité mêmes de la pierre qu’il transcende. »
Frédéric PHILIPIN, historien d’art
Texte de présentation de l’exposition « Déclinaisons lapidaires » au Musée archéologique d’Arlon, 2012